Oooooh c’est chouette, on est propriétaire, on enlève des lés de papier peint qu’elle disait la dame. Ouais, ouais, ouais.
Le vieux papier peint qui s’enlève petite bande par petite bande… Et d’un coup de raclette un peu vengeur, tu emportes aussi une partie du plâtre de ton mur…
Car il y a dans cette maison au minimum deux couches de papier puis une troisième quasiment incrustée dans les murs. Ça peut être assez poétique :
Au grè des fleurs retrouvées et des parcelles de papiers qui apparaissent ici ou là, tu comprends comment les habitants précédents et ceux d’avant ont décoré la maison :
Le rose à fleur était irisé ET imperméable. C’est celui qui est parti le plus facilement. Et il y a avait des journaux parfois derrière une première couche ! Sans date malheureusement.
Les annonces immobilières sont en franc, c’est tout ce que je peux vous dire. Derrière une cheminée, il y avait aussi plusieurs La vie du rail qui remontent aux années Cinquante – #collector. Ça calait la cheminée…

Je vais devoir faire plein d’enduit. Mon meilleur ami est devenu un rouleau.
Je hais le papier peint.
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